Il ne reste qu’un mois à la prévente de Tamadoge, au cours de laquelle plus de 60 000 dollars ont déjà été collectés. Le projet crypto alliant memecoin, play to earn et metaverse semble trouver son public et attirer les investisseurs !
Un play to earn version retro mais pas seulement
L’équipe de Tamadoge espère combiner l’esthétique retro de Tamagotchi et le gameplay à l’origine de cet énorme succès, avec l’atmosphère de divertissement associée à d’autres tokens mèmes liés aux chiots. Tamadoge est un tout nouvel écosystème play to earn lancé sur la blockchain Ethereum, et est actuellement à mi-chemin de sa pré-vente. Jusqu’à présent, près de 70 000 $ ont été collectés en ETH.
Lorsque les Tamagotchis étaient populaires, ils souffraient d’être limités à un seul petit appareil : il n’y avait aucun moyen de les faire communiquer entre eux et, comparés à ce que nous avons aujourd’hui, les jeux n’étaient pas satisfaisants.
Dans le cadre de l’expérience de jeu “play to earn”, le Tamaverse est un metaverse de conception unique spécialement conçu pour la communauté Tamadoge. Il permettra aux utilisateurs du monde entier de pouvoir communiquer et se rencontrer de manière virtuelle, une manière de lban ! Une approche similaire à ce que sont en train de construire les pionniers du domaine comme Decentraland ou The Sandbox.
Des listings sur des exchanges à venir !
Tamadoge a signé un accord avec LBank, une bourse de crypto-monnaies de premier plan qui a récemment annoncé la cotation d’autres projets du secteur play to earn tels que Lucky Block et son token le LBLOCK. Peu après la fin de la pré-vente, Tamadoge sera cotée sur la bourse LBANK. Cela garantira, en plus de tout présence dans un paire issue d’un pool de liquidité Uniswap, une liquidité accrue et une plus grande exposition pour le projet. Un moyen supplémentaire d’attirer les investisseurs notamment particuliers.
Le récent listing de LBLOCK sur LBANK a été très bénéfique pour le prix des tokens. Comme expliqué dans le livre blanc, il y aura une offre diluée de deux milliards de jetons, dont la moitié sera vendue lors de la pré-vente à la communauté initiale.
20% de l’offre totale est réservé pour fournir des liquidités (à la fois pour les échanges décentralisés et leurs alternatives centralisées plus populaires), et les 30% restants seront progressivement débloqués pour l’équipe sur une période de 10 ans, afin de financer le développement du projet.
Au deuxième trimestre 2023, les NFT Tamadoge seront dévoilés, permettant aux membres de la communauté de faire leurs premiers pas avec leurs avatars dans le Tamaverse. Ce n’est pas la seule étape que l’équipe Tamadoge franchit dans le metaverse. Selon la feuille de route, le troisième trimestre de 2023 verra le déploiement de Tamadoges en réalité augmentée.
Grâce à une application mobile, les joueurs pourront faire vivre leur Tamadoge dans leur environnement réel. Ainsi, l’ensemble de l’expérience de jeu brouille les frontières entre expérience et réalité, ce qui rend l’expérience utilisateur plus attrayante pour la communauté. L’idée semble de respecter au plus près la définition de metaverse.
Tamadoge poursuit donc sa croissance et attire de plus en plus d’investisseurs. La prévente dure encore près d’un mois et nous indiquera si ce succès ne se dément pas. De nombreux projets crypto naissent chaque mois et ils sont loin de tous rencontrer le succès. En effet, près de 20 000 projets cryptos sont recensés sur la plateforme de référence CoinMarketCap. Un chiffre qui peut donner le tournis pour les investisseurs en quête d’opportunités intéressantes.
Tamadoge mêle à la fois memecoin et play to earn, ce qui pourrait lui permettre de se démarquer dans un environnement hautement concurrentiel.
A la fin de la prévente, vous aurez la possibilité de réclamer vos tokens TAMA. Pour cela, tout se passe depuis le site de la plateforme, en cliquant simplement sur le bouton “Claim”. Vous pouvez consulter ici les informations utiles pour acheter le token TAMA.
Pour en savoir plus sur pourquoi et comment investir dans les cryptos metaverse, retrouvez notre article ici.
Partager
Antoine Marin
Rédacteur
