Les publicité pour le Bitcoin et les Autres cryptomonnaies vont faire leur grand retour sur Facebook (Meta)
Le Bitcoin débarque sur les réseaux sociaux ! Au cas où vous auriez raté la nouvelle, le groupe Facebook s’est renommé en Meta. Affichant déjà sa volonté d’étendre le métaverse, le groupe va plus loin en voulant offrir plus de place publicitaire à la crypto. Ainsi la boite détenant Instagram, Facebook, et Whatsapp va introduire les token, NFT, et coin en tout genre au plus grand nombre. Analyse d’une annonce qui fait monter les bulles dans le champagnes des détenteurs de cryptomonnaies.
- Qui est concerné par les annonces ?
- Quel coin va pump ?
- rapide rappel sur le métaverse
Bitcoin et Crypto, le Nouvel El Dorado de Zuckerberg
Tout d’abord, nous allons expliquer plus en détails l’annonce. Comme expliqué précédemment, la firme de Mark Zuckerberg a des nouvelles réjouissantes pour le monde de la cryptomonnaie. En effet, dans ses annonces, Meta affirme ouvrir la porte à plus d’annonceurs dans le milieu des actifs numériques. De trois licences distinctes d’annonces, ils sont passés à 27.
Ces changements peuvent être aperçus dans la section 10 de la mise à jour du programme de publicité Facebook. Cette section appelée “Crypto currency Products and Services.” détaille ainsi l’élargissement des possibilités de publicités. Cette ouverture permettra de voir de nouvelles pub concernant les wallets, les prêts, les plateformes d’échanges et aussi celle de minage. D’après un porte-parole de Meta, ces changements s’appliqueront également à Instagram.
La décision vient après que Meta ait mûrement réfléchi à l’évolution de la situation autour de la crypto. Elle déclare également qu’ “Au fil des ans, le paysage des crypto-monnaies a mûri et s’est stabilisé et a connu une augmentation de la réglementation gouvernementale, ce qui a contribué à définir des responsabilités et des attentes plus claires pour le secteur.”. La Société continue en expliquant l’utilité de sa décision : “À l’avenir, nous cesserons d’utiliser divers signaux pour confirmer l’éligibilité et exigerons plutôt l’une des 27 licences suivantes”.
Cap sur le Metaverse
Nous vous proposons d’analyser cela ensemble. Meta est l’entreprise de Mark Zuckerberg, 7e homme le plus riche du monde. Elle capitalise 525 milliards de dollars. Elle possède 2,8 milliards d’utilisateurs actifs par mois. Et elle veut davantage parler de crypto à ces personnes. Pour le moment, il n’y a “que” 80 millions d’adresses de portefeuilles Bitcoin. Et il faut prendre en compte le fait que certaines personnes possèdent plus d’une adresse. Il y a donc moins de 80 millions d’utilisateurs de Bitcoin dans le monde.
A votre avis, que va-t-il se passer maintenant que Meta peut faire en sorte qu’une publication sur trois, quatre ou cinq parle crypto ? Selon nous, la réponse est simple. Des gens, disons 0,01% des 2.8 Milliards d’utilisateurs vont se créer une adresse Bitcoin à leur tour dans les prochaines années. Cela fait 28 millions de nouvelles adresses, soit plus d’un tiers de celles existantes. Sachant qu’entre 2018 et 2021 le nombre de portefeuille à été multiplié par 4, cela confirmerait la tendance. Cette tendance est simple : elle est exponentielle. Avec le Covid, vous devez être assez familier avec l’exponentielle. Et tout comme le Covid, la fièvre de la crypto s’empare du monde. Évidemment, une telle entrée de nouveaux acteurs dans l’échange de crypto-monnaies ne peut que participer à l’explosion du cours de celles sur le marché, ou à venir.
Bitcoin va s’inviter dans les ordinateurs des ménages
Le ménage moyen aura par exemple en France, des amis, de la famille, des collègues dans le Bitcoin ou l’Ethereum. Aujourd’hui, cela reste assez niché. Mais depuis quelques mois, la firme derrière Facebook fais tout pour mettre en avant ce domaine. On se rappelle très bien de sa volonté de bâtir de multiverse. Avec cette nouvelle, le F de GAFA va se transformer en P de profit. Pour ceux qui sont dans le milieux depuis 2017, voire avant, c’est un énième bullrun qu’il s’apprête à traverser. Enfin, pour ceux qui nous auront rejoint pendant l’été, cela sera la concrétisation de l’espoir de voir le BTC à 100 000$.
Malgré la forte volatilité des ces derniers jours, la directions prise par Facebook semblent donc aller vers une démocratisation des cryptomonnaies à une grande échelle. Pour l’instant, les utilisateurs ont surtout remarqué une forte présence de scam et d’arnaque. Parmi elles, on peut citer la mise en vente du Amazon Coin via une ICO, avec des images volés de Jeff Bezos et des montages dignes du logiciel Paint. Dans d’autres, c’est le Libra de Facebook qui semble débarquer prochainement sur vos wallets. Un des grands défi des annonces crypto sur les réseaux sociaux sera sans doute de faire le tri entre le bon grain et l’ivraie. Comme toujours, ne vous fiez pas à ce que vous dit la publicité. Faites vos propres recherches. En particulier quand tout semble trop beau pour être vrai.
Sous les arnaques, la plage
Dans le cas des publicité Facebook, c’est parfois très simple de faire ses recherches. Dans la sections commentaire de l’annonce, vous trouverez souvent des avis un peu plus critique que la moyenne. Entre les personnes complétement perdues qui demandent naïvement “C’est vrai ? Comment acheter des Amazon Coin ?” et les septiques chevronnés qui se content d’éclater de rire et de lâcher leurs plus beaux paragraphes remplis d’ironies, le choix est vite fait. Les arnaques seront toujours présentent dans le monde de la cryptomonnaie. On ne pourra pas les faire disparaître. En revanche, on peut s’éduquer, chacun d’entre nous, pour ne plus tomber dans le panneau. A terme, participer à une fausse ICO sera aussi risible que d’envoyer 5000 euros à un prince nigérien en exil.
En conclusion, que dire de plus. C’est assez mathématique. Si un tiers de l’humanité à accès à du contenu sponsorisant les cryptocurrencies, il y a fort à parier que la demande augmentera. Si la demande augmente, mais que l’offre reste la même, le prix monte. Le Bitcoin étant limité à 21 000 000, c’est une des meilleures options afin de mieux profiter de l’essor de la blockchain. Et si demain le Louvre faisait de ses œuvres de NFT ? Cela serait formidable de posséder les token de la plateforme les hébergeant, à défaut de pouvoir acheter les œuvres en elle-même.
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