Les nouvelles technologies dont notamment la blockchain ont permis de développer la tokenization, un processus qui change de nombreuses industries. C’est pourquoi un champion olympique désire lancer une nouvelle blockchain faisant usage de la tokenisation pour aider les boxeurs à développer leur carrière.
Oleksandr Usyk désire créer sa propre blockchain
Le champion olympique de boxe médaillé d’or, Oleksandr Usyk a décidé de s’attaquer à un nouveau combat hors du ring : créer sa propre blockchain et développer la tokenization pour supporter l’industrie de la boxe.
Ainsi ce dernier a décidé de faire équipe avec la plateforme d’échange ukrainiene Qmall pour développer sa plateforme du nom de Ready to Fight. La plateforme web fera usage de la technologie blockchain pour aider les boxeurs à tokeniser leurs marques et recevoir des investissements ainsi que des donations tout en ayant la capacité de produire du contenu exclusif.
🥊 #CRYPTO meets #BOXING! The teams of @usykaa, Lapin, & @QmallExchange unite to revolutionize the boxing industry. @rtfight_com – the world's 1st blockchain platform for boxing! Free registration and endless possibilities for boxers, fans, coaches.
👉 https://t.co/DbsoDwuaGs pic.twitter.com/zrHRaISW8H— Alexander Usyk (@usykaa) March 23, 2023
De ce fait, Ready to Fight introduit un nouveau moyen pour supporter et connecter toute l’industrie de la boxe. La plateforme propose donc un écosystème tokénisé faisant usage des tokens RTF. En prime, Qmall fait usage d’un fork de la blockchain Ethereum pour développer sa propre plateforme maison.
L’investissement en crypto-monnaies est proposé par eToro (Europe) Ltd en tant que PSAN, enregistré auprès de l’AMF. Les crypto-monnaies sont très volatiles. Pas de protection des consommateurs.
Les conditions d’utilisations pour les boxeurs
Les boxeurs ainsi que divers athlètes pourront s’inscrire à la plateforme et faire usage de la tokenization avec un million de tokens créé via leur identité. Ensuite, les tokens au nom de chaque boxeur ne seront pas utilisables avant une IDO ou bien avant que le boxeur n’ait collecté un certain montant via des donations.
De plus, les boxeurs auront pour obligation de réinvestir leurs gains provenant de la plateforme dans leur token dans les 5 années suivantes au maximum. Les tokens de boxeurs s’échangent grâce à l’écosystème RTF token comme utilité de la plateforme Ready to Fight. Finalement, le token RFT sera disponible sur l’exchange Qmall.
Ainsi, le médaillé des jeux olympiques 2012 croit en la technologie de la blockchain et ce qu’elle peut apporter aux boxeurs leur permettant notamment d’améliorer leurs connexions avec un système offrant le soutien de la communauté.
De ce fait, les combattants peuvent plus facilement se concentrer sur leur entraînement pendant que leur écosystème tokénomique fournit des revenus afin de financer leur carrière. Usyk explique notamment :
Le problème de nombreux nouveaux boxeurs est que non seulement ils se tuent à la salle pour s’entraîner, mais en plus, ils n’ont pas assez de contacts pour trouver une équipe pour les représenter ou les moyens pour le faire. Par conséquent, je comprends et je respecte la philosophie derrière les crypto-monnaies et comment les gens les utilisent pour des services et transferts. Cela est en train de changer le monde et peut créer des systèmes plus justes, le milieu de la boxe également sans aucun doute.
Qmall comme exchange principal
Usyk a choisi Qmall comme plateforme d’échange pour ce projet que cela soit pour sa gestion concernant la tokénomique, mais aussi pour offrir une durabilité nécessaire à ses ambitions via Ready to Fight.
Ainsi, la plateforme d’échange Qmall repose sur trois points majeurs : le social, l’échange et l’investissement. De ce fait, l’exchange fonctionne aussi bien comme un réseau social fournissant des news, du contenu durable et plus encore, mais désire aussi proposer du contenu et des news concernant la boxe à l’avenir suite à ce projet.
En prime, une application sur mobile compatible Android et iOS est en cours de développement.
Source : Cointelegraph
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Emmanuel Mounier
Rédacteur
