Malgré le bear market, le marché crypto est toujours très actif. Si cette phase baissière risque bien d’être fatale à un certain nombre de projets, d’autres pourraient tirer leur épingle du jeu. Dans cet article, on revient sur 3 projets aux aspirations et à la maturité bien différente. Des projets qui partagent néanmoins un point commun : ils sont tous compatibles avec la blockchain Ethereum !
1 – Tamadoge (TAMA)
L’écosystème Tamadoge dispose également d’un store. Un store au sein duquel vous pourrez acheter de la nourriture pour votre animal, des jouets ou encore des accessoires. A terme, l’équipe entend proposer de nouvelles fonctionnalités. Comme la possibilité d’inclure une application de réalité augmentée pour jouer avec votre animal.
Le token TAMA est au cœur de l’écosystème Tamadoge. Il permet notamment d’acheter vos créatures préférées au format NFT. L’utilisateur pourra aussi la retrouver dans le Tamaverse. Le TAMA permet de créer, d’élever et même de soigner vos animaux de compagnie. Bien qu’il s’agisse d’un mème token, le jeton dispose d’une vraie utilité. À noter qu’il s’agit d’un token déflationniste. En effet, lors d’achat sur le store, 5 % des tokens TAMA utilisés sont brûlés.
La tokenomics du projet prévoit 2 milliards de jetons. La moitié de ces jetons seront vendus lors d’une prévente publique. La tokenomics prévoit aussi la mise sur le marché progressive de 30 % du total des jetons. Sur une période de 10 ans. Les 20 % restants serviront à assurer la liquidité du jeton après le listing sur des DEX ou des CEX. Contrairement à de nombreux projets, le trading de TAMA ne sera pas sujet à une taxation supplémentaire.
2 – Lucky Block (LBLOCK)
Au sein de l’écosystème Lucky Block, vous pourrez aussi investir sur une gamme de NFT. Une collection sobrement baptisée “Platinum Rollers“. Soucieux de défendre un système plus vertueux, la solution Lucky Block reverse également 10 % du montant de chaque jackpot à des œuvres caritatives. Pour chaque jackpot, 70 % sont distribués entre les gagnants, 10 % va au développement du projet et pour le budget marketing. Les 10 % restants sont quant à eux partagés entre les holders du token LBLOCK.
3 – The Sandbox (SAND)
Mieux, The Sandbox propose un écosystème aux possibilités illimitées. Pour la bonne et simple raison que la plateforme permet aux joueurs de co-construire le métavers. En y inventant de nouveaux jeux ou en créant de nouveaux objets. Chaque nouveauté prendra la forme de NFT que vous pourrez acheter ou vendre via la marketplace. La créativité s’en trouve alors décuplée.
Comme Decentraland, la plateforme The Sandbox a largement popularisé le concept d‘immobilier virtuel. En achetant une parcelle, l’utilisateur peut proposer de nouvelles activités et faire payer un droit d’entrée aux autres joueurs. Il peut également monétiser sa parcelle en acceptant des publicités d’entreprises. Véritable fer de lance de l’écosystème du métavers, The Sandbox pourrait encore se développer plus largement dans les années à venir. Certaines estimations tablent aujourd’hui sur un secteur du métavers qui pourrait peser plusieurs centaines de milliards de dollars d’ici 2030.
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Charles Ledoux
