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Selon le PDG de Coinbase, il ne faut pas réguler l’IA

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Brian Armstrong, le PDG de Coinbase, est opposé à la réglementation de l’intelligence artificielle. Pour lui, la réglementation serait une entrave au développement de l’IA et ralentirait ses progrès.

Brian Armstrong prône la non-régulation de l’IA

Le PDG de Coinbase, Brian Armstrong, estime que les États-Unis ne devraient pas du tout réglementer ou restreindre le développement de l’intelligence artificielle (IA). Il affirme que toute tentative d’atténuer ses conséquences négatives ne fera que ralentir ses progrès.

« Nous avons connu un âge d’or de l’innovation dans le domaine des logiciels et d’Internet, en grande partie parce qu’ils n’étaient pas réglementés », a déclaré Armstrong sur Twitter vendredi. « L’IA devrait faire de même. »


Les commentaires du PDG reflètent ses opinions antérieures concernant l’industrie de la cryptomonnaie, qui, selon lui, sera poussée à l’étranger si elle est entravée par trop de lois. Cela est particulièrement vrai dans le domaine de la finance décentralisée (DeFi), qui, selon Coinbase l’année dernière, ne devrait pas bénéficier de la même attention réglementaire que les entreprises centralisées.

Comme pour la finance, Armstrong a déclaré que nous devrions « décentraliser » et rendre « open source » l’industrie de l’IA et « laisser le chat sortir du sac ».

« Le bilan en matière de réglementation est qu’elle a des conséquences inattendues et qu’elle tue la concurrence [et] l’innovation, malgré les meilleures intentions », a-t-il soutenu.

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Les innovations liées à l’intelligence artificielle

Depuis l’adoption massive de ChatGPT d’OpenAI, les investisseurs et les géants de l’industrie technologique se précipitent pour exploiter toutes les opportunités d’innovation désormais accessibles. Les applications incluent la génération de texte/image, le codage, la détection du cancer, les voitures autonomes, et bien plus encore.

Plus tôt cette semaine, un développeur anonyme d’Ethereum a créé un outil qui exploite ChatGPT pour déployer automatiquement de nouveaux jetons crypto sur Ethereum à l’aide d’une simple commande. D’autres ont exploité la technologie de ChatGPT pour créer des outils éducatifs sur la crypto.

Cependant, la technologie devient également de plus en plus populaire à des fins plus néfastes, notamment la promotion en masse d’escroqueries cryptos réalistes en utilisant les réseaux sociaux ou l’inondation du marché d’Amazon avec des ebooks de mauvaise qualité.

Au-delà de la crypto, Armstrong a déclaré que les progrès rapides en matière d’IA sont importants pour de nombreuses raisons, notamment la sécurité nationale. En effet, le Government Accountability Office (GAO) a noté l’année dernière que l’IA modifie « le caractère même de la guerre », depuis « la prévision des pannes mécaniques des plateformes d’armes jusqu’à la réalisation d’analyses complexes pour soutenir sa mission de combat ».

Toutefois, les innovations basées sur l’IA étaient absentes du top 10 des innovations crypto qu’Armstrong a soulignées le mois dernier. Il a plutôt salué les efforts tels que la confidentialité des layers 2, les économies de jeux Web3 et les tentatives de « tout tokeniser ».


Source : Twitter


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Stéphanie Comitogianni Rédactrice

Stéphanie Comitogianni Rédactrice

Stéphanie a fait des études dans le domaine de la construction. Après avoir obtenu un DUT Génie Civil, elle a poursuivi son cursus avec un Master en Économie de la construction. Ce métier s’intéresse aux aspects économiques liés aux projets de construction, tout en s’appuyant sur une forte base de connaissances techniques.

Elle a exercé son métier d’économiste de la construction pendant 10 ans, travaillant pour différents bureaux d’études ainsi que dans la branche Immobilier d’EDF en France. En 2017, Stéphanie s’est expatriée pour la première fois. Elle a poursuivi sa carrière d’économiste au sein d’un bureau d’études à Bristol, au Royaume-Uni. Exercer ce métier technique dans une langue et un pays différents a été une expérience enrichissante et très stimulante sur les plans intellectuel et personnel.

En 2019, Stéphanie et son mari Kevin ont décidé de se réorienter vers le domaine de la rédaction web. Ils ont alors eu l’occasion de découvrir les cryptomonnaies lorsqu’ils ont reçu une mission portant sur le minage de Bitcoin. Totalement étrangers au secteur des cryptos, ils ont alors découvert l’univers passionnant de la blockchain. Ils ont alors décidé de poursuivre leur exploration et d’approfondir leurs connaissances, pour finalement en faire leur domaine de prédilection.

Aujourd’hui, Stéphanie aime écrire sur les différentes technologies et mécanismes utilisés par les blockchains et les cryptomonnaies. Fidèle à sa formation dans la construction, elle s’attache à décrypter les réalités techniques qui se cachent derrière les projets cryptos. Elle s’intéresse aussi particulièrement aux interfaces entre la crypto et la finance traditionnelle.

Désormais installée en Italie, elle profite pleinement de la liberté géographique offerte par son métier de rédactrice web. Plusieurs mois par an, Stéphanie et Kevin rédigent leurs articles aux quatre coins du monde en tant que digital nomads, par exemple en République Dominicaine ou à Chypre.

En dehors des voyages, elle aime passer du temps dans des travaux de rénovation et d’aménagement. La lecture est un autre de ses passe-temps préférés.

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