Alors que les dernières éditions du mondial de l’automobile peinent à rassembler les foules d’antan, le CES de Las Vegas, quant à lui, a prévu de faire salle comble dans quelques jours. En particulier pour ce qui concerne sa partie automobile.
Le célèbre salon des technologies, devenu la rampe de lancement des marques du numérique et startups les plus novatrices, compte faire, cette année, la part belle aux constructeurs de voiture. Un signe de plus que nos automobiles ne seront bientôt plus que de gros concentrés de technologies embarquées, ou le moteur et la fiche technique n’auront plus leurs places.
Cette volonté du CES de mettre en avant le secteur automobile tombe à pic pour ce début d’année 2023, puisque selon certains observateurs, l’industrie devrait connaître une belle année, particulièrement centrée sur les véhicules électriques.
La révolution est en marche : elle sera électrique
Que les amoureux des moteurs thermiques se préparent. Le véhicule électrique est à nos portes. S’il n’est déjà pas rare d’en croiser au feu rouge, 2023 devrait être le dernier pas vers la démocratisation des véhicules à batteries.
En effet, les gouvernements occidentaux, à force d’exigences d’émissions carbones de plus en plus strictes, ont forcé les constructeurs à investir des milliards dans l’électrique, dans le but d’obtenir, à horizon 2030, un abandon presque total des moteurs thermiques en Europe.
Même son de cloche aux États-Unis, où les autorités publiques offrent un crédit d’impôt de 7500 $ pour l’achat d’un véhicule électrique. Une aide parfois accompagnée d’une réduction de la part des constructeurs, qui ont vu leurs stocks gonfler suite à l’inflation, et cherchent coûte que coûte à vider leurs entrepôts. C’est le cas de Tesla, par exemple, qui offre également 7500 $ de réduction sur ces Model 3 et Model Y, pour tout achat avant la fin de l’année.
Les crypto-actifs représentent un investissement risqué.
Une concurrence accrue par les mutations technologiques
Sur le marché américain, c’est sans surprise que Tesla, la firme d’Elon Musk, caracole en tête du podium. Néanmoins, il se pourrait que 2023 apporte son lot de changements.
Sans perdre sa place de leader des véhicules électriques, Tesla pourrait être talonnée de près par Ford, Hyundai et Kia, qui ont pleinement pris le virage de l’électrique, en accroissant leurs capacités de production en Amérique du Nord.
Achète-t-on la voiture ou les logiciels ?
Tous les constructeurs semblent à présent mettre autant d’effort dans l’amélioration de l’autonomie et des performances des véhicules électriques, que dans les logiciels embarqués. Pour certains observateurs, amateurs de dystopie, ce virage semble constituer un pas de plus vers le traçage de nos activités, et une possibilité de nous contraindre à l’avenir.
Pour d’autres, il s’agit tout bonnement d’une merveilleuse opportunité de redéfinir la voiture au sein de nos unités urbaines, et de trouver de nouveaux relais de croissances et d’investissements.
Du point de vue des constructeurs, cet attrait des consommateurs pour les technologies embarquées tombe à point nommé, puisqu’ils auront à présent la possibilité de vendre des abonnements pour l’utilisation des services proposés. Un exemple parmi tant d’autres, votre voiture sera bientôt capable, à l’instar de votre téléphone avec Apple Pay ou Google Pay, de réaliser et d’automatiser les paiements de tous les services autour de son fonctionnement (bornes de recharge, autoroutes, parking, et bien plus encore).
Autre point très important, il apparaît aujourd’hui que les constructeurs, jusqu’ici timorés à ce sujet, souhaitent entrer pleinement dans l’aire Metaverse crypto. On ne distingue pas encore précisément ce que cela impliquera pour l’utilisateur, mais au niveau de l’industriel, nul doute que la réplication de ses véhicules dans le monde virtuel lui permettra d’obtenir des myriades de données sur le comportement des clients, les habitudes de déplacement, les données critiques en cas d’accident et bien plus.
ADAS votre futur critère d’achat
Il ne fait nul doute que dans les années à venir, l’argument principal de vente de nos véhicules électriques soit leur niveau ADAS. Ces niveaux désignent le stade technologique de la voiture quant à sa capacité à conduire de manière autonome.
Sur ce secteur, Tesla mène encore la danse, mais il y a fort à parier que les milliards actuellement dépensés par ses concurrents leur permettent d’obtenir des certifications ADAS 3 (les meilleurs véhicules étant à présent en cours de certification ADAS 2+) tout aussi rapidement. En Chine, par exemple, le constructeur XPeng est très confiant dans sa compétence à offrir à ses clients une conduite autonome sur autoroute, en ville, et en parking, dès cette année.
C+Charge la solution du futur
Le marché des véhicules électriques devrait représenter 12 % du marché global pour l’année à venir aux États-Unis (contre 7 % pour le moment). Cette augmentation progressive (qui est déjà bien plus forte en Europe), apporte son lot d’opportunités en matière d’investissement, puisque les entreprises et les États vont devoir dépenser massivement pour offrir à ce nouveau parc automobile les infrastructures de recharges et de stockage d’énergie adéquates. Il serait donc intelligent de garder un œil sur les sociétés cotées de ce secteur d’activité.
Pour autant, en matière d’opportunité, il se pourrait qu’une des meilleures d’entre elles ne se situe pas dans le giron d’un constructeur automobile, mais plutôt dans une crypto-monnaie avec le projet C+Charge (CCHG).
C+Charge recharger sa voiture électrique et recevoir des récompenses
C+Charge est un projet novateur, centré autour de la recharge des véhicules électriques. Le constat de base de C+Charge est simple : dans un avenir proche, lorsque les quotas carbones viendront réglementer nos modes de consommation, et que la voiture électrique ne sera plus un effet de mode, mais une obligation, leurs constructeurs, ainsi que les propriétaires de stations de recharge devront proposer une solution de paiement universelle et ainsi pourquoi ne pas utiliser les cryptos à cet effet ?
En participant au projet C+Charge, lorsque vous irez recharger votre véhicule électrique au sein du réseau partenaire, vous engrangerez une partie des crédits-carbones octroyés par vos recharges. Une façon de revoir une récompense pour contribuer à l’environnement tout en rechargeant votre véhicule. C+Charge désire donc fournir une application permettant de trouver les bornes de recharge facilement et d’effectuer le paiement directement via mobile grâce à des cryptos.
La prévente a débuté il y a peu au prix de 0,0130 $ pour 1 token CCHG. Plusieurs phases auront lieu, mais à l’heure actuelle, c’est la première qui est en cours. Ainsi, si vous vous empressez de participer au projet C+Charge, vous ferez partie des premiers investisseurs, ceux qui obtiennent souvent les tokens au meilleur prix ! Si vous désirez en savoir plus sur comment acheter des tokens CCHG, consultez notre guide détaillant toutes les étapes.
Cet article ne représente en aucun cas un conseil en investissement. Les informations fournies ici ne doivent pas être utilisées comme base pour prendre des décisions financières. Les investissements en crypto-monnaie comportent des risques et peuvent entraîner des pertes importantes. Il convient d’investir uniquement ce que vous pouvez vous permettre de perdre et d’effectuer vos propres recherches avant de prendre toute décision d’investissement.
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Emmanuel Mounier
Expert en Crypto-monnaie
