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La Fondation Arbitrum s’associe à Fracton Ventures pour renforcer sa présence au Japon

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La Fondation Arbitrum, une organisation soutenant le réseau Ethereum Layer 2 Arbitrum, s’est associée au studio de protocole Fracton Ventures pour lancer Arbitrum Japan. L’initiative vise à renforcer la présence d’Arbitrum dans le pays, en promouvant le développement des écosystèmes et les programmes d’éducation communautaire.

La fondation Arbitrum vise “un énorme potentiel inexploité”

Un partenariat avec le studio de protocole Ethereum Fracton Ventures verra le lancement d’Arbitrum Japan. Arbitrum Japan se concentrera sur le développement commercial, la création d’écosystèmes et le contenu éducatif, conçus pour favoriser l’adoption de la technologie de mise à l’échelle d’Arbitrum.

D’après Nina Rong, responsable du développement des écosystèmes à la Fondation Arbitrum, il existe un énorme potentiel inexploité dans la région japonaise. « Dans notre collaboration avec Fracton Ventures, nous pensons que nous sommes dans une position unique pour atteindre un nouveau groupe démographique de développeurs, d’innovateurs et de consommateurs curieux de la blockchain qui n’ont pas été exposés auparavant aux avantages de la technologie blockchain. » a-t-elle déclaré.

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Une approche à deux volets

La société japonaise Fracton Ventures s’appuiera sur son réseau d’experts, d’investisseurs et de développeurs dans la région, soutenu par la Fondation Aribitrum, pour développer une gamme d’activités selon une approche à deux volets : le développement commercial et la construction d’un écosystème, ainsi que l’éducation et le soutien communautaire.

Premièrement, le partenariat vise à promouvoir la croissance de l’écosystème Arbitrum sur le marché japonais, en soutenant le développement commercial en favorisant la collaboration entre les sociétés web2 et web3.

Deuxièmement, Arbitrum Japan prévoit d’élargir le contenu éducatif technique via des sessions AMA et des hackathons. Les ambassadeurs universitaires et les community managers seront également chargés de diriger les activités visant à stimuler l’adoption d’Arbitrum par les consommateurs.

Un pays favorable à la crypto

Le Japon est l’une des zones les plus favorables à la crypto. Le Premier ministre Fumio Kishida avait déclaré que Web3 avait le potentiel de transformer Internet et de contribuer au changement social lors de la conférence WebX en juillet.

En juin, l’Agence nationale des impôts du Japon a exempté les émetteurs de cryptomonnaie du paiement d’impôts sur les plus-values d’environ 35 % sur les gains non réalisés, dans le but de renforcer son industrie crypto.

Cependant, la Japan Blockchain Association souhaite que le gouvernement du pays révise davantage son système fiscal relatif à la crypto, demandant l’annulation des impôts sur les bénéfices des transactions cryptos au motif qu’il entrave la croissance des entreprises Web3 au Japon .

Nina Rong, citée plus haut, affirme avoir reçu beaucoup d’intérêt de la part des entreprises japonaises et des développeurs individuels pour la technologie Arbitrum. « Nous aimerions mieux servir ces clients avec des ressources locales sur le terrain. »

La Fondation Arbitrum prévoit également d’accroître la présence d’Arbitrum en Corée et dans d’autres régions d’Asie du Sud-Est.


Source : Reddit, Medium


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Stéphanie Comitogianni Rédactrice

Stéphanie Comitogianni Rédactrice

Stéphanie a fait des études dans le domaine de la construction. Après avoir obtenu un DUT Génie Civil, elle a poursuivi son cursus avec un Master en Économie de la construction. Ce métier s’intéresse aux aspects économiques liés aux projets de construction, tout en s’appuyant sur une forte base de connaissances techniques.

Elle a exercé son métier d’économiste de la construction pendant 10 ans, travaillant pour différents bureaux d’études ainsi que dans la branche Immobilier d’EDF en France. En 2017, Stéphanie s’est expatriée pour la première fois. Elle a poursuivi sa carrière d’économiste au sein d’un bureau d’études à Bristol, au Royaume-Uni. Exercer ce métier technique dans une langue et un pays différents a été une expérience enrichissante et très stimulante sur les plans intellectuel et personnel.

En 2019, Stéphanie et son mari Kevin ont décidé de se réorienter vers le domaine de la rédaction web. Ils ont alors eu l’occasion de découvrir les cryptomonnaies lorsqu’ils ont reçu une mission portant sur le minage de Bitcoin. Totalement étrangers au secteur des cryptos, ils ont alors découvert l’univers passionnant de la blockchain. Ils ont alors décidé de poursuivre leur exploration et d’approfondir leurs connaissances, pour finalement en faire leur domaine de prédilection.

Aujourd’hui, Stéphanie aime écrire sur les différentes technologies et mécanismes utilisés par les blockchains et les cryptomonnaies. Fidèle à sa formation dans la construction, elle s’attache à décrypter les réalités techniques qui se cachent derrière les projets cryptos. Elle s’intéresse aussi particulièrement aux interfaces entre la crypto et la finance traditionnelle.

Désormais installée en Italie, elle profite pleinement de la liberté géographique offerte par son métier de rédactrice web. Plusieurs mois par an, Stéphanie et Kevin rédigent leurs articles aux quatre coins du monde en tant que digital nomads, par exemple en République Dominicaine ou à Chypre.

En dehors des voyages, elle aime passer du temps dans des travaux de rénovation et d’aménagement. La lecture est un autre de ses passe-temps préférés.

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