Au travers de sa campagne « Change the Code », Greenpeace USA tentait coûte que coûte d’affirmer que Bitcoin était mauvais pour l’environnement. Aujourd’hui, l’organisation non gouvernementale (ONG) a mis un terme à son combat.
Les allégations de Greenpeace contre Bitcoin
Outre une campagne qui n’a pas rencontré le succès escompté, « Change The Code » et « Clean Up Bitcoin » proposait surtout des arguments peu documentés.
Selon Greenpeace, Bitcoin représentait une véritable menace pour la société. Dans « Mining for Power », l’organisation faisait complètement fausse route face aux données réelles de l’or digital.
Il était notamment reproché aux mineurs d’utiliser et même de dépendre des énergies fossiles. Un document qui n’aura pas manqué de faire rougir de rage la cryptosphère et les chercheurs, comme Daniel Batten.
Un conflit d’intérêts
Il est important de mentionner que l’étude sur le mining de Bitcoin proposée par Greenpeace n’est pas réellement neutre. On pourrait même presque affirmer que celle-ci est biaisée.
L’information est relativement simple à prouver, notamment au travers des notes de la communauté de X.
D’après plusieurs sources, l’étude a été financée par le cofondateur de Ripple, Chris Larsen. Des propos également soutenus par CNBC et Bloomberg. Selon les médias, l’homme aurait effectué une véritable opération de lobbying en versant 5 millions de dollars à Greenpeace pour supporter des propos finalement faux.
La vérité derrière Bitcoin
Une quantité importante de recherches a été menée par Daniel Batten, un entrepreneur qui s’est spécialisé dans l’impact environnemental de Bitcoin.
Sur X, l’homme n’a de cesse de démontrer l’absence de danger de Bitcoin sur le climat. Récemment, il expliquait d’ailleurs que Bitcoin avait un ratio positif : négatif de 31 : 1. Selon lui, ce ratio fait de Bitcoin l’un des actifs les mieux en accord avec les normes ESG (Environnement, Société, Gouvernance).
1/7
Environmentally, Bitcoin has a positive:negative ratio of 31:1
This mean Bitcoin is probably the most important ESG technology of our time
As a fund manager I'd opine its gross negligence for an ESG investor not to consider it in their mix
Here's a data summary
👇— Daniel Batten (@DSBatten) January 12, 2023
En parallèle, le World Economic Forum (WEF) supporte lui aussi l’idée que Bitcoin a en réalité un impact positif sur l’environnement. Pour rappel, le CEO de BlackRock, Larry Fink, fait partie du board du WEF.
Enfin, sans besoin de recherches avancées, il est important de préciser que le mining de Bitcoin se fait en grande partie au travers des énergies renouvelables. De moins en moins de machines de minage utilisent les énergies fossiles. L’argumentation de Greenpeace tombe à l’eau, forçant l’ONG à renoncer.
Sources : Daniel Batten sur X
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